\beginsong{Manatthan-Kaboul}[by=Renaud,cov=boucan-d-enfer] \cover \gtab{Do}{032010} \gtab{Fa}{133211} \gtab{Sol}{320003} \gtab{Mi}{022100} \gtab{Lam}{X002210} \gtab{Rém7}{XX0211} \gtab{Mim}{022000} \gtab{Mi(1)}{2:XX134X} \gtab{Mi/Ré}{2:X034X} \gtab{Mi/Do}{2:X2X34x} \gtab{Mi/Si}{2:X1X34x} %intro à faire \beginverse \[Do]Petit \[Fa]Portori\[Sol]cain\[Fa] \[Do]Bien inté\[Fa]gré, quasiment New \[Sol]Yorkais,\[Fa] \[Do]Dans mon buil\[Fa]ding tout de verre \[Sol]et d'acier,\[Lam] \[Fa]Je prends mon \[Rém7]job, un rail de \[Mi]coke, un café \endverse \beginverse* \[Do]Peti\[Fa]te fille af\[Sol]ghane,\[Fa] \[Do]De l'autre \[Fa]côté de la \[Sol]Terre,\[Fa] \[Do]Jamais en\[Fa]tendu parler \[Sol]de Manhat\[Lam]tan, \[Mi(1)]mon quoti\[Mi/Ré]dien c'est la mis\[Mi/Do]ère et la \[Mi/Si]guerre \endverse \beginchorus Deux étran\[lam]gers au bout du \[Fa]monde, si diffé\[Rém7]rents \[Mi]Deux incon\[Lam]nus, deux ano\[Fa]nymes, mais pour\[Sol]tant\[Mi] Pulvéri\[Lam]sés sur l'au\[Fa]tel De la \[Rém7]violence éter\[Mi]nelle \endchorus \beginverse Un sept cent quarante sept S'est explosé dans mes fenêtres, Mon ciel si bleu est devenu orage, Lorsque les bombes ont rasé mon village \endverse \beginchorus Deux étrangers au bout du monde, si différents Deux inconnus, deux anonymes, mais pourtant Pulvérisés sur l'autel De la violence éternelle \endchorus \beginverse \[Do]So \[Sol]long, adieu mon \[Fa]rêve améri\[Do]cain, \[La]Moi, \[Mim]plus jamais l'es\[Fa]clave des \[Sol]chiens \[Do]Ils \[Sol]t'imposaient l'Is\[Fa]lam des ty\[Do]rans \[Mi(1)]Ceux-là ont-\[Mi/Ré]ils jamais lu \[Mi/Do]le Coran\[Mi/Si] ? \endverse \beginchorus Deux étrangers au bout du monde, si différents Deux inconnus, deux anonymes, mais pourtant Pulvérisés sur l'autel De la violence éternelle \endchorus \beginverse J'suis redevenu poussière, Je s'rai pas maître de l'Univers, Ce pays que j'aimais tellement serait-il Finalement colosse aux pieds d'argile ? \endverse \beginverse* Les dieux, les religions, Les guerres de civilisations, Les armes, les drapeaux, les patries, les nations Font toujours de nous de la chair à canon \endverse \beginchorus Deux étrangers au bout du monde, si différents Deux inconnus, deux anonymes, mais pourtant Pulvérisés sur l'autel De la violence éternelle \endchorus \beginchorus Deux étrangers au bout du monde, si différents Deux inconnus, deux anonymes, mais pourtant Pulvérisés sur l'autel De la violence éternelle \endchorus \endsong